



Deux des 4 jeunes pécheurs sont arrivés à Foumbouni, leur ville natale.
Cela fait une semaine depuis que 2 sur 4 jeunes pêcheurs originaires de Foumbouni ont été retrouvés près des côtes malgaches, à 25 km de la ville côtière de Majunga.
Et cet après-midi à l'aéroport de Hahaya Prince Saïd Ibrahim, Djabawi et Kamouss ont atterri et sur leurs visages se lisait la tristesse d'avoir perdu leurs collègues, pendant les 33 jours passés en mer, à errer entre ciel et terre, sans aucune maîtrise de leurs embarcations et ni eau, ni nourriture. Que dieu leur accorde leur pardon.
Encore une fois de plus, les autorités comoriennes ont brillé de leur désintérêts à sauver les pêcheurs comoriens qui, tous les ans , paient un lourd tribu pour nourrir tout un peuple.
Dans cette triste affaire, nous tenons à adresser nos remerciements à la fondation Salim SAADI qui , généreusement, a pris en charge les billets de retour pour ces jeunes. Ce geste prouve que l'espoir n'est pas encore perdu car dans la diaspora comorienne, il y a encore des hommes et des femmes qui aiment leur pays, malgré l'anarchie imposée par une classe politique en totale décalage des intérêts des comoriens.
Mbadakome
Cela fait une semaine depuis que 2 sur 4 jeunes pêcheurs originaires de Foumbouni ont été retrouvés près des côtes malgaches, à 25 km de la ville côtière de Majunga.
Et cet après-midi à l'aéroport de Hahaya Prince Saïd Ibrahim, Djabawi et Kamouss ont atterri et sur leurs visages se lisait la tristesse d'avoir perdu leurs collègues, pendant les 33 jours passés en mer, à errer entre ciel et terre, sans aucune maîtrise de leurs embarcations et ni eau, ni nourriture. Que dieu leur accorde leur pardon.
Encore une fois de plus, les autorités comoriennes ont brillé de leur désintérêts à sauver les pêcheurs comoriens qui, tous les ans , paient un lourd tribu pour nourrir tout un peuple.
Dans cette triste affaire, nous tenons à adresser nos remerciements à la fondation Salim SAADI qui , généreusement, a pris en charge les billets de retour pour ces jeunes. Ce geste prouve que l'espoir n'est pas encore perdu car dans la diaspora comorienne, il y a encore des hommes et des femmes qui aiment leur pays, malgré l'anarchie imposée par une classe politique en totale décalage des intérêts des comoriens.
Mbadakome
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